Le projet d’aéroport étant abandonné, le groupe français Vinci aurait présenté sa facture. Salée, selon la ministre des Transports, Elisabeth Borne. <br /> <br />Une affaire de très gros sous. Qui se joue en coulisses. Vinci, qui devait être le concessionnaire de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes, projet abandonné, négocie pied à pied avec l’État pour obtenir une compensation financière. La facture présentée par le géant du BTP est salée, si l’on en croit la ministre des Transports. Elle se chiffrerait à « plusieurs centaines de millions d’euros » , a déclaré Elisabeth Borne, ce dimanche 14 avril.
